L e Projet de Loi de Finances 2026, d’un montant total de 6 358,2 milliards de FCFA avec un besoin de financement de 2 204,3 milliards de FCFA, a été présenté par Henri-Claude Oyima devant le Sénat. Les sénateurs ont examiné les grandes lignes budgétaires, la gestion des finances publiques et les engagements sociaux, en insistant sur la discipline, la transparence et l’efficacité d’exécution.

Les Vénérables Sénateurs membres de la Commission des Finances ont procédé à l’examen de la loi de finances 2026, en présence de la Présidente du Sénat, Madame Paulette Missambo.

C’est le Ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances, de la Dette et des Participations, Monsieur Henri-Claude Oyima, qui a ouvert les auditions pour défendre le projet de loi de finances pour l’exercice 2026.

Le ministre a présenté les ressources et charges de l’État, ainsi que les volets suivants : Recettes et dépenses de l’État Gestion des finances publiques Engagements de l’État Pensions Prestations familiales et sociales Provisions Dépenses transversales Valorisation du patrimoine de l’État

Pour cette année, les prévisions budgétaires sont arrêtées à 6 358,2 milliards de FCFA en ressources et en dépenses, avec un besoin de financement estimé à 2 204,3 milliards de FCFA.

Les sénateurs ont échangé sur la cohérence et la faisabilité du budget, en insistant sur la discipline financière, la transparence et l’efficacité de l’exécution. Des rapports trimestriels permettront de suivre l’avancement des projets, le taux de décaissement et la mobilisation des recettes.